Les coulisses de la pandémie avec Isabelle Dubé

K9 (pavillon K, 9eétage) à l'entrée de la zone chaude. Du ruban adhésif sur les portes empêche tout air extérieur de pénétrer à l'intérieur.
Infirmière s'habillant avec des vêtements de protection avant d'entrer au K9.
Test pour s'assurer que le masque N95 s'adapte correctement. Divers types de masque sont disponibles, en fonctionde la forme du visage de la personne qui le porte. Lors du test, l’employé doit porter le masque et une cagoule blanche géante qui est impressionnante. La personne qui dispense la formation place également un jet d’air mal odorant et perceptible au goût (vraiment dégoûtant)sous la cagoule pour vérifier l’étanchéité du masque.
La Dre April Shamy est chargée de la gestion de l’équipe.
Chaque matin, avant de se rendre dans la chambre de chaque patient, l’équipe des médecins dédiés (qui change à chaque semaine) assure le suivi et la mise à jour des informations.
Le Dr Michel De Marchie (à l’avant-plan).
Séance d’habillage pour le Dr Michel De Marchie et Dr Simon Bergman, une procédure communément appelée donning. Le dés habillage est appelé doffing.
Visite matinale dans la chambre d’un patient.
Un infirmier du K9 mesure les signes vitaux d’une patiente (pression artérielle, température, etc.).
Une infirmière du K9.
Infirmière
Infirmière
Un téléphone ne doit pas être porté à l’oreille. Tout ce qui se trouve au K9 est considéré comme infecté.
Le travail doit toujours être fait avec des gants.
Des infirmières discutent entre elles.
Cellulaire dans un sac Ziploc.
Visite dans la chambre d’un patient.
Mon visage après avoir porté un masque pendant trois heures.
Un patient reçoit son congé de l’hôpital. Un membre du personnel l’escorte, nettoie tout après son passage (les ascenseurs sont désinfectés) et l’accompagne à l’extérieur avec l’aide d’un agent de sécurité.
Agent de sécurité
Équipe de l’unité des soins intensifs
Infirmière
Appel téléphonique aux membres de la famille.
Les chambres des patients sont visitées par des inhalothérapeutes, pas seulement par les infirmières.
Une infirmière demande du soutien.
Dans chaque chambre, un tableau affiche des informations importantes sur le patient qui sont facilement et rapidement accessibles.
Ce patient a eu la COVID-19 et s’est remis. Cependant, en raison de complications et de séquelles, il mourra probablement bientôt.
Une équipe de médecins et un pharmacien procèdent à une évaluation chambre par chambre.
La mort et le départ d’un patient.
Infirmières
Équipe d’infirmières-chefs de l’unité des soins intensifs (à gauche : Stephanie Petizian)

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